Charlotte Perrelli : bientôt une diva suédoise pour l’Espagne à l’Eurovision 2026 ?

Charlotte Perrelli souhaite représenter l’Espagne á l’Eurovision

Charlotte Perrelli rêve en espagnol. L’ancienne gagnante du Concours Eurovision de la Chanson (en 1999, rappelez-vous), aujourd’hui installée à Marbella, envisage très sérieusement de représenter… l’Espagne en 2026. Oui, vous avez bien lu. Pas la Suède. L’Espagne.

Dans une interview accordée au quotidien suédois Expressen, la chanteuse affirme :

« Si j’ai la bonne chanson, mon rêve est de représenter l’Espagne à l’Eurovision. »

Et ce rêve semble être en bonne voie, puisqu’une équipe d’auteurs travaille actuellement sur plusieurs morceaux pour elle. La perspective de participer au Benidorm Fest, la sélection espagnole, est donc plus que plausible.

Une Suédoise en Espagne, une Européenne dans l’âme

Il faut dire que Charlotte Perrelli n’est pas une touriste de passage : cela fait deux ans qu’elle vit sur la côte andalouse, sous le soleil marbellí. Après une dernière participation au Melodifestivalen en 2021, où elle a terminé 8e avec «Still Young», la diva nordique semble prête pour un nouveau chapitre… ibérique.

Et, cerise sur la paella : l’Espagne faisant partie du Big Five, elle n’aurait même pas à passer par les demi-finales du concours. Une finale assurée, comme un clin d’œil du destin.

« Mon rêve ultime ? Que la Suède gagne l’Eurovision la veille… et que je revienne à Stockholm représenter l’Espagne. Je mourrais ! »
– Charlotte Perrelli, visiblement déjà prête à écrire un biopic.

D’ABBA à flamenco : un scénario eurovisif digne de Netflix

Si ce scénario rocambolesque se réalise, cela promet un moment culte dans l’histoire du concours. Une star suédoise, en Andalousie, chantant pour l’Espagne… sur une scène installée en Suède ? C’est à la fois un casse-tête géopolitique et un rêve de fan d’Eurovision.

Dans un monde où la frontière entre nationalité musicale et appartenance culturelle s’efface de plus en plus, Charlotte Perrelli pourrait bien devenir le symbole d’un Eurovision plus européen que jamais. Après tout, la musique n’a pas de passeport.

Source: Expressen

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