Eurovision 2026 : L’Autriche sort l’artillerie lourde – mais tiendra-t-elle ses promesses ?

JJ á Bâle photo: Sarah Louise Bennett (EBU)

L’Autriche a promis un Eurovision Song Contest 2026 digne des plus grands shows hollywoodiens. Au cœur de cette ambition démesurée, l’ORF (la télévision publique autrichienne) a déjà dégainé son « dream team » : Nina KaiserAnja Lenhart et Claudio Bortoli. Rien que ça.

Un casting à faire pâlir Sanremo

On dirait un scénario de blockbuster :

  • Nina Kaiser, ex-ProSiebenSat.1, gourou des partenariats commerciaux, est désormais la chasseuse officielle de sponsors pour remplir les caisses (et calmer les finances déjà en sueur).
  • Claudio Bortoli, vétéran technique, promet un show sans fausse note… enfin, sauf si les câbles décident de faire grève en direct.
  • Anja Lenhart, l’ancienne du ESC 2015, joue les super-assistantes et veille à ce que tout reste « inclusif et durable » – un mot magique qu’on adore lancer à chaque conférence de presse.

Promesses XXL, pression XXL

À écouter l’ORF, ce sera « le plus grand événement de divertissement du monde ». Rien que ça. Mais entre les coûts astronomiques et une organisation millimétrée digne d’une horlogerie suisse, beaucoup se demandent si l’Autriche ne joue pas un peu trop avec le feu.

Un show pour marquer l’histoire… ou un flop mémorable ?

La dernière fois que l’Autriche avait accueilli l’Eurovision, c’était en 2015, et tout le monde l’avait acclamée. Dix ans plus tard, la barre est encore plus haute. Michael Krön, le big boss du projet, jure que tout sera « parfait ». Les fans, eux, se frottent déjà les mains, espérant des paillettes, des drames et, pourquoi pas, un petit scandale live – ça, c’est vraiment l’esprit Eurovision.

Source: ORF

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